mes doigts le long de tes cheveux
filtrant tes meches en emportant a chaque fois
une infime partie de toi
puis mon index s'attarderais
à te caresser la joue
faisant tout pour que ce moment soit eternel
faisant tout pour que ça dure, ça dure, dur...
tellement dur que l'etreinte se resserre
tu suffoques, tu hurles, je jouis
et je me surprend à contempler
tes yeux de plus en plus vitreux
tes yeux de plus en plus blancs
comme la couleur de mon plaisir
triste moment celui où ton corps devient inerte
celui où de pantin desarticulé tu deviens coquille
mes mains quittent tristement ton cou meurtri
ces outils divins qui me comblent et te torturent
pour faire durer le plaisir au dela du temps qui t'etait imparti
1 commentaire:
ya toujours un "ça" quelque part , jaime bien celui de la photo aussi , j'aime aussi le malaxer ou le sentir me penetrer quand je fais pipi ... "ça" fait du mal , "ça" fait du bien
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